登入選單
返回Google圖書搜尋
Les réalités de la 'réalité' - deuxième partie: Vers une compréhension des facteurs responsables des progrès de la science moderne (Volume 2)
註釋

 La différence entre la première partie et la deuxième partie – volumes 1 et 2 – de cette série est que, dans la première partie, l'auteur a montré comment ce que nous appelons la réalité commence avec le moi intérieur, alors que la deuxième partie décrit ce qui, en réalité, affecte et modifie l'environnement ou la réalité et quels sont les facteurs derrière cette dynamique. Ce qui impacte et modifie l'environnement, c'est la science. Ce volume 2 commence par montrer comment la technologie joue un rôle important dans les progrès scientifiques. Bien que la relation entre les deux soit symbiotique, la science peut exister sans technologie, mais la technologie a désespérément besoin de la science. La technologie militaire est un exemple de la manière dont la technologie peut faire progresser la science. Certaines inventions militaires finissent par avoir un usage civil. La science étant au centre de la société, le livre plaide en faveur de l’impact direct de sciences sociales telles que la politique et l’économie sur le progrès de la science. La politique, dit l'auteur, influence la science en raison de l'incertitude de la science, et l'économie le fait grâce à la disponibilité de fonds pour les chercheurs et les scientifiques. D'autre part, le gouvernement influence également le progrès scientifique par le biais de réglementations. Le livre donne comme exemple la régulation du cyberespace. En outre, en montrant comment l'art influence la science, l'auteur plaide en faveur de l'aspect polyfactoriel du progrès scientifique. Dans cette optique, il prouve également que des facteurs tels que le scepticisme, la curiosité et la quête du savoir influencent grandement le progrès de la science. Cela, dit l'auteur, « est un virage à 90 degrés ... En terminant la partie deux de cette façon, je voulais, d'une manière ou d'une autre, la relier à la première partie, qui affirme que la réalité commence de l'intérieur. »