Cet ouvrage retrace la genèse de l’intégration financière internationale au cours de la première ère « moderne » de mondialisation, de 1880 à 1913 et apporte une aide précieuse pour affronter les dilemmes auxquels sont actuellement confrontés les responsables de l’action publique. Reposant sur des données historiques, les auteurs parviennent à cette conclusion essentielle : la réussite de l’intégration financière internationale dépend finalement peu d’une simple orientation politique concernant l’opportunité d’ouvrir ou de fermer une économie aux mouvements internationaux.