Court roman de moeurs qui éclaire l'histoire et les contradictions de la Turquie d'hier et d'aujourd'hui, "Un grand Seigneur" est le théâtre d'une blessure amoureuse dont la victime 30 ans après ne peut faire le deuil. A moins qu'il ne s'agisse d'une offense, celle que lui fit le père de sa bien-aimée en refusant de lui donner sa fille en mariage sans s'expliquer sur ses motivations... Un roman éminemment stendhalien en 80 pages.