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Tempérer la douleur du monde
註釋Mais leurs associations, tout en étant reconnues utiles et indispensables, sont abordées avec une aigreur évidente, car coupables d'empiéter sur le territoire réservé de la médecine scientifique, de se livrer à des "dépenses inutiles", de se situer à côté des impératifs de santé publique et d'exercer, ici ou là, un "terrorisme associatif." La préférence de Marc Gentilini va aux associations charitables et mondaines ce qui ne l'empêche pas, plus loin, de dire sa méfiance à l'égard des "hommes d'argent" et de regretter qu'ils s'infiltrent de plus en plus dans les milieux hospitaliers. Violentes diatribes, aussi, contre le "monde du verbiage" et, en particulier "ces congrès dispendieux" qui "servent de tremplins, de faire-valoir ou de relance à ceux qui dans le quotidien manquent d'engagement et d'efficacité." Les rapports semblent orageux avec ses collègues "quadras" de la génération sida, jugés globalement "assez satisfaits d'eux-mêmes".-