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Un hiver à Paris sous le consulat
註釋La 4e de couverture indique : « Novembre 1802 : le musicien allemand Johann Friedrich Reichardt (17521814), ancien maître de chapelle de Frédéric le Grand, arrive dans le Paris consulaire. La France est alors en paix avec l'Angleterre et les sujets des puissances européennes y sont reçus à bras ouverts jusque dans le cabinet de Bonaparte, Premier consul. Au cours de son séjour, qui se poursuit jusqu'en avril 1803, Reichardt rédige quarante-trois " lettres confidentielles " considérées par les spécialistes de la période comme un témoignage d'un intérêt exceptionnel, récit vivant et parfaitement documenté de la vie dans la capitale française à cette époque. Parce qu'il était une personnalité et qu'on le savait proche des idéaux de la Révolution, Reichardt eut accès aux meilleurs salons, aux premières loges des théâtres et de l'Opéra, aux manifestations officielles, aux audiences solennelles. Les portes des grands savants, des administrateurs, des poètes et des littérateurs du temps s'ouvrirent devant ce francophile à l'esprit ouvert, promeneur curieux, observateur scrupuleux et spectateur averti. Grâce au regard aiguisé, parfois insolent et critique mais toujours passionnant, de son auteur, ce texte constitue une véritable promenade artistique, touristique, sociale et politique dans le Paris de l'hiver 1802-1803. Au moment où les historiens du Consulat et de l'Empire se tournent à nouveau vers les sources essentielles d'une période dont l'étude est remise au goût du jour, Thierry Lentz, directeur de la Fondation Napoléon, souhaite ici faire découvrir ou redécouvrir un témoignage majeur dans lequel Jean Tulard voit " une excellente description de Paris sous le Consulat ". »