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One Season in Hell
註釋Tiré du site Internet http://www.lespressesdureel.com: "Livre d'artiste basé sur le recueil de poèmes d'Arthur Rimbaud, "édité" par Nick Mauss et Ken Okiishi. Au printemps 2007, à New York, dans le cadre d'une exposition organisée par la galerie Gavin Brown's Enterprise, Nick Mauss et Ken Okiishi ont réalisé "One season in hell", une installation dont le point de départ était le célèbre recueil de poèmes d'Arthur Rimbaud. Utilisant le traducteur en ligne de Google pour obtenir une version anglaise du texte original, Ken Okiishi s'en est d'abord emparé pour le ponctuer de blagues, de jeux de mots ou encore de références à la culture populaire, de Karl Lagerfeld à South Park en passant par le style capillaire de certains adolescents japonais et les voitures de marque Volvo. Nick Mauss a quant à lui annoté le texte sur lequel il a ensuite dessiné. Parallèlement, les artistes ont alors publié un livre éponyme dans lequel ont été rassemblées ces pages. Éditée à 500 exemplaires, cette publication a rapidement été épuisée. Du 13 mai au 14 août 2011, Nick Mauss présenta sa toute première exposition personnelle dans une institution au FRAC Champagne-Ardenne. C'est à la suite de cette exposition que Nick Mauss et Ken Okiishi ont évoqué leur souhait de rééditer "One season in hell", dont le résultat offre à la fois un nouveau regard sur l'œuvre de Rimbaud et prolonge leur pratique respective de manière remarquable. Ken Okiishi et Nick Mauss (nés respectivement en 1978 et 1980) vivent tous deux entre Berlin et New York. Parallèlement à leurs travaux individuels, ils développent leur collaboration depuis 2001 autour d'un intérêt commun pour la culture visuelle moderne, les processus d'institution et de transformation des codes culturels, les mécanismes de communication et de transposition de sens et de valeurs. Nick Mauss met en scène et réagence ses propres dessins dans des ensembles complexes. Les travaux vidéo de Ken Okiishi s'intéressent à la dimension sociale des modes de narration cinématographiques, en utilisant des références du cinéma populaire (Larry Clark ou Woody Allen). Ensemble, ils réinvestissent des formes esthétiques du passé pour les transposer dans des cadres de références contemporains."