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El capitalismo dependiente y su incidencia en el problema agrario venezolano
註釋Synthèse du processus agraire vénézuelien a partir de trois moments historiques : - le conflit social agraire de 1958, issu de la crise structurelle de la société et qui se manifesta politiquement par la chute du régime dictatorial de Perez Jimenez, - la pratique de la reforme agraire qui commença avec l'émergence de l'État démocratique et qui établit la loi de Réforme Agraire de 1960; - la reformulation du problème agraire, a partir de 1980, proposée par les organismes internationaux (Développement Rural Intégré). Le conflit social agraire de 1958 est un fait historique parfaitement articulé à la crise socio-économique vénézuelienne, stimulée par la pénetration des capitaux étrangers dans le secteur pétrolier et la grande industrie. Les relations précapitalistes qui existaient dans l'agriculture (limitation du marche, concentration de la propriété, technologies traditionnelles, analphabétisme) tendent a disparaître avec l'émergence de relations de type capitaliste qui ont pousse le pays à la diversification de son marché, à de nouveaux niveaux de consommation et à l'utilisation de nouvelles technologies. Tout cela produisit un antagonisme qui contesta les structures et la base politique de l'État et qui encourage la pratique réformiste agraire, a partir de 1960 (loi de Réforme Agraire), laquelle, malgré les actions mises en oeuvre, n'a pu sortir la population paysanne de la pauvreté. Au contraire, cette politique a servi a développer le capitalisme dans l'agriculture (agroindustrie) a travers des mécanismes comme les aides financières, les subsides, les exonerations fiscales. A côté, nous trouvons plusieurs moyens producteurs endettés, des organisations économiques créées par la reforme agraire en train de se déteriorer, des petits producteurs ruinés et obligés de vendre leur force de travail, des journaliers surexploités et au chomage.