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Morbidité des antiagrégants plaquettaires dans la néphrectomie partielle

Hélène RicardUniversité de Caen Normandie. UFR Santé

出版	2017
URL	http://books.google.com.hk/books?id=SrnFswEACAAJ&hl=&source=gbs_api

註釋Introduction : détermination de l’impact de l’utilisation des anti-agrégants plaquettaires (AAP) sur la morbidité lors de la néphrectomie partielle (NP). Méthode : il s’agit d’une étude rétrospective, mono-centrique, observationnelle, réalisée de 2010 à 2015. Tous les patients opérés de NP par lombotomie ont été recensés puis séparés en trois groupes : traitement AAP suspendu en péri-opératoire (groupe 1), traitement AAP maintenu (groupe 2) et pas de traitement AAP (groupe 3). Les modalités d’arrêt et de reprise ont elles aussi été précisées. Les données démographiques, clinico-pathologiques et les complications ont été comparées dans les 3 groupes. Nous avons alors pu évaluer leur influence sur l’apparition de complications hémorragiques, la fréquence des événements cardio-vasculaires en cas de suspension, mais aussi toutes complications selon Clavien-Dindo. Résultats : parmi 111 patients éligibles, 85 (76,6 %) n’avaient pas de traitement, 8 avait interrompu leur AAP, 18 l’avaient maintenu. Il n’y avait pas de différence significative quant au RENAL score (6,8 ; 6 et 5,5 ; p=0.12). Il n’a pas été noté de variation significative de durée opératoire (p=0.3) ni de pertes sanguines (p=1). Il a été noté un taux de transfusion post-opératoire (p