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L'élément de la souffrance humaine dans l'oeuvre romanesque de Georges Duhamel
註釋"Par la fenêtre, ouverte sous l'abîme nocturne, je percevais l'angoissa des êtres. Mes deux plus proches voisins, les tilleuls jumeaux qui se dressaient, près de la porte, comme des serviteurs attentifs, devisaient le soupir de chaque feuille ramant des ténèbres Et moi-même, cette nuit'là, n'étais-je pas plus sensible que l'épi des graminées, plus frémissant que la crille des vignes folles?" Ces lignes pénétrantes et révélatrices sont les premières d'un roman de Georges Duhamel, ou, comme cet écrivan le fait si souvent, il s'abandonne a son premier élan: peindre la via comme alla apparaît a l'oeil averti qui a tôt fait da discerner la trame de joie et de doleur dont est tissée l'existence da tous. Cette sagesse et cette sensibilité, unies au "désir da peindre, l'ardent besoin d'engendrer et de construire", le mettant au premier rang des romanciers las plus "humains" de notre siècle, ceux qui ont la vision la plus lucide, appuyée sur l'expérience la plus concrète, des défauts da la cuirasse humaine et qui las ont exposes avec une impitoyable précision doublée d'une sympathie quasi-religieuse ... ."--$cAuthor's abstract.