登入選單
返回Google圖書搜尋
Bain acide à Douarnenez
註釋Solenn, une jeune infirmière de Douarnenez, souhaite découvrir qui envoie de mystérieuses cartes postales anonymes à sa grand-mère, mais sa curiosité pourrait bien la mettre en danger...

Léa Mattei, détective privé, n’écoute que son coeur et rend service à une jeune femme que la vie n’a pas épargnée sept ans plus tôt. La grand-mère de Solenn reçoit des cartes postales anonymes depuis quatre ans. Deux fois par an. Mais Solenn, jeune infirmière de Douarnenez, grille de curiosité de découvrir l’expéditeur qui se cache derrière ces envois. Serait-ce un amoureux transi ou une vieille amie perdue de vue ? À moins que la recherche n’entraîne Léa plus loin, beaucoup plus loin... Toujours secondée par l’adjudant-chef Patrick Mérieux, elle se met à creuser les mystères d’une matinée de brouillard de février 2012. Mais la curiosité de Solenn ne va-t-elle pas la mettre en danger ? Plus Léa enquête et plus une ombre menace l’infirmière. Il ne fait pas bon remuer le passé...

Les événements d'une matinée de brouillard de février 2012 pourraient bien avoir encore un impact dangereux sur le présent. Retrouvez Léa Mattei et son chef Patrick Mérieux dans ce 10e tome glaçant et saisissant des investigations d'une gendarme et détective de talent.

EXTRAIT

L’individu de droite profita de sa surprise pour la maîtriser. Tout s’était joué en quelques secondes. Elle était abasourdie tandis qu’il la tenait fermement. Lily fut prise de violents tremblements. Une sueur froide la glaça entièrement tandis que ses dents se mirent à claquer. Du coton dans les oreilles. Un brouillard épais dans la tête. Les muscles sans force. Le choc de la scène qui venait de se produire avait anéanti sa réactivité. Lily était hébétée. Elle sentit qu’on la dirigeait vers le fauteuil voisin de Florent. Elle étouffa un hoquet tandis qu’on l’y poussait. Les deux individus discutaient à voix bas se. Ils ne semblaient pas d’accord. Celui qui l’avait maî trisée paraissait affolé. Il tournait en rond en pas sant sa main sur sa cagoule.
— C’est de la folie, perçut-elle. On ne peut pas faire ça !