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註釋Un nouveau départ en Bretagne
Quand l’auteur arrive sur l’île de Batz, elle tombe géographiquement amoureuse et décide de s’y installer avec son mari et ses enfants. Malgré les difficultés d’acclimatation, les rigueurs du climat et la prudence initiale des îliens, elle plonge tête baissée dans cette nouvelle vie. En chemin, elle découvre des figures touchantes aux destins singuliers. Ainsi naît l’idée de ce livre, créer des ponts entre ces destins îliens et la grande histoire du monde.
De rencontres en portraits, d’amitiés en leçons de choses, elle doit bientôt remettre en question ses certitudes de jeune parisienne et se laisser apprivoiser par cet univers indomptable. Alors qu’elle pensait s’être mise en retrait, elle se retrouve au centre du monde.

Portrait d’une île singulière et d’une femme impétueuse, Là-Batz est comme une ode marine passé le dernier finistère.

CE QU'EN PENSE LA CRITIQUE

- "On saluera l’engagement des éditions Intervalles pour le soutien de ce roman d’une île, un premier roman d’une jeune auteure au talent certain." (Finistère penn-ar-bed)
- "Un récit attachant et sincère qu’il faut lire." (Thierry Dussart, Le Télégramme de Brest)
- "Avec humanité, Guénaëlle Baily-Daujon relève les délices et les pièges de la vie en terre étrangère, une expérience qui peut nous faire grandir ou trébucher." (Le Mag du Glofe)

A PROPOS DE L'AUTEUR

Guénaëlle Baily-Daujon est née en région parisienne. Depuis son arrivée en Bretagne, elle a été correspondante pour Le Télégramme de Brest et collabore à Tébéo (Télé Bretagne Ouest).

EXTRAIT

Je ne me rappelle plus qui a eu l’idée, qui en a parlé le premier. Je me souviens de ces dîners, la fin de ces dîners parisiens, quand après quelques bouteilles, quelques discussions sur la politique, l’environnement, la pollution, les embouteillages, tout ce qu’il faudrait faire pour bien vivre ici, les questions sur comment élever les enfants; je me souviens que pendant ces dîners, souvent, tous, mes amis, mes voisins, mon compagnon, on se disait qu’il fallait partir. Aller respirer un autre air, qu’il n’était pas possible de rester là, agglutinés à cette Île-de-France, à Paris, cette ville que l’on ne voyait plus.
De cela, je m’en souviens : dès que l’on évoquait l’idée de partir, je m’enflammais.